22 juillet 2011
L'Alibi D'Ô
Et d’une et d’eux,
Il n’y a rien qui ne chavire plus,
Que ses yeux,
Tueurs,
Emplis de cette désireuse envie
D'eux, corset délacé et corps étreint
Refermé sur lui-même, abdiquant,
Elle, pleurant sa rêverie humide de se sentir
Eprise, fouillée du regard insolent
De cette âme en absence,
Se perdre un peu plus et à mesure,
Au rythme et en cadence de sa
Tête qui balance, perdue,
Délivrée de l’emprise du bon sens,
Dernier rempart bienséant,
Immorale et souillant
Ses doigts,
Captifs,
Et la main habile lorsque
Soudain, Elle se prend à penser
A vouloir,
Qu’en ce lieu tremblant
Qu’en son ventre ébranlé,
A leur place,
Il n’y ait de place plus que pour lui.
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